en fait de sardaigne, ce n’était que olbia. et olbia, soyons clair, c’est très très moche. raison pour laquelle nous avons annulé l’appartement que nous avions réservé et nous sommes rabattus sur un hôtel avec piscine et vue sur la baie d’un côté, la mer de l’autre, pour nous consacrer à un monumental (mais un poil court) farniente aussi bienvenu que mérité. c’est pourquoi, une fois n’est pas coutume, et même si nous n’avons pas pu nous empêcher de faire un tour en ville, les photos de cet album tourneront quasiment toutes autour de l’hôtel… enjoy!

le survol des alpes est toujours un moment magique…

découverte de l’hôtel ou plutôt de sa piscine qui n’est pas, contrairement à ce que l’on pourrait croire, à débordement…

piscine avec vue…

vue de la piscine

terrasse du restaurant de l’hôtel

jour 2: découverte (rapide) d’olbia… basilique san simplicio avec, en sous-sol, les fouilles archéologiques.

c’est vrai qu’on jouit mieux, l’été, sans poils…

une rescapée de la colonisation française? ah ben non, suis-je bête…

des pâtes que même mes copains italiens ne connaissent pas…

c’est louche, ces pâtes inconnues au bataillon…

une ruelle pas typique d’olbia, proche de la rue principale, qu’on te vend comme les champs élysées locaux… lol

ruelle proche des champs élysées locaux (lol). le tapis l’atteste…

pas de doute on est bien sous les tropiques…

jour 4 (oui, j’ai sauté le jour 3): balade à la plage, à 7 km de l’hôtel. manque de pot, un vent à décorner les boeufs (d’ailleurs on en a croisé et ils faisaient la tête), impossible de se baigner ni même de se balader. total: apéro dans la gargote locale.

je le connais, celui-là…

avec le vent, les mouettes se la jouaient flemmardes…

retour à la piscine, avec le gars qui me suit partout comme mon ombre…

la fameuse fregola, la pâte locale.

dernier soir, on se serait cru dans le désert mexicain…

rouge, c’est rouge.

jour 5: dernier matin avant de décoller.
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