mes pixels à moi

la samaritaine enfin rénovée, après tant d’années de fermeture…

les cadenas se sont déplacés du pont des arts au pont neuf.

à gauche, on aperçoit le toit de l’institut de france.

fermées depuis le 20 juillet 2016 sur décision de la mairie de paris, les voies sur berges ont engendré des embouteillages bien au-delà du centre de paris et pourraient être à l’origine du pic de pollution que la capitale a connu en fin d’année. si les automobilistes parisiens râlent, nous, piétons, on est plutôt content de retrouver paris-plage en février…

love always finds a way…

le square du vert-galant, à la pointe de l’île de la cité, depuis le quai des tuileries.

le pont des arts dont les grilles trop chargées de cadenas (et devenues dangereuses) ont été remplacées par des plaques en plexiglas.

l’institut de france, qui abrite cinq académies – l’académie française, celle des inscriptions et des belles-lettres, celle des sciences, l’académie des beaux-arts et celle des sciences morales et politiques -, depuis le quai françois-mitterand.

le plafond de la terrasse du café marly, donnant sur la cour napoléon du louvre.

sunset sur la cour napoléon du louvre, depuis la terrasse du café marly.

tellement décriée lors de son inauguration en 1988, la fameuse pyramide est aujourd’hui l’un des symboles de la capitale et, au-delà, de la culture française contemporaine. comme quoi…

la pointe de l’île de la cité, avec le square du vert-galant, à gauche la samaritaine et à droite la monnaie de paris.

le phare de la tour eiffel a été mis en route la première fois le 31 décembre 1999, en écho à celui qui se trouvait au sommet de la tour dès 1889. il comprend quatre projecteurs disposés en carré et balayant l’horizon selon un angle de 90°. quand l’un arrive à 90°, il s’éteint et le suivant s’allume immédiatement, et ainsi de suite. ce qui donne l’impression qu’il n’y a qu’un seul phare. les projecteurs sont pilotés par ordinateur et sont équipés d’un système de refroidissement de grande capacité. leur portée est de 80 km.

pont des arts. la résistance s’organise…

le long de la promenade maurice-carême, depuis le pont au double. au loin, on devine la place saint-michel.

le banc sans dossier, sur la pont au double, qui mène au parvis de notre-dame.

à droite, au-dessus du square jean-xxiii, le dome du panthéon. à gauche, la tour d’argent.

l’hôtel de ville et, plus loin, la tour saint-jacques, depuis le pont louis-philippe, qui part de l’île saint-louis…