new york city 2013
new york city en dix-sept jours, notre plus long séjour jusqu’ici… dix-sept jours à croquer la grande pomme, à crapahuter comme des malades, à découvrir des choses inédites, à essayer des choses, à sortir même de manhattan pour nous aventurer ailleurs et aller découvrir washington dc, monumentale capitale fédérale, et long island, l’île des golden boys et des familles richissimes (et que je présente dans deux autres albums). une manière de goûter des petits morceaux d’amérique et, avec ce septième séjour dans cette ville intense, de concrétiser un peu plus notre rêve d’évasion. comme d’habitude, nous sommes revenus fatigués et décalés, mais des images plein les yeux, des sensations plein les narines, des souvenirs plein la tête. coney island, les hamptons, les gorilles du bronx, quelques restos, le base-ball… autant d’émotions que j’aimerais partager, même si je ne sais pas si des photos peuvent leur rendre justice. enjoy!

entre la 1ère et la 2e avenue, sur la 59ème rue (life is groovy), on peut embarquer sur ce petit téléphérique construit par des suisses en 1976 pour rallier la roosevelt island…

citi field, flushing meadows corona park. le pavillon de la ville pour l’expo universelle de 1964 avec ses fameuses tours d’observation…

le sol dégradé du pavillon de la ville de new york pour l’expo universelle de 1964 qui représentait à l’origine la carte routière de l’état de new york…

le kat’s delicatessen, sur east houston st. – quand on voit ce qu’ils y servent, on a du mal à croire que c’est du « delicat essen »… seul intérêt de ce resto: il a servi de décor à la fameuse scène de l’orgasme simulé dans quand harry rencontre sally (« i’ll have what she’s having »)…

coney island, brooklyn, tous les vendredis soirs d’été. sortie en famille, fête foraine, saucisses et feux d’artifice. l’ambiance est vraiment cool…

coney island, le parachute – vestige d’une attraction érigée en 1939 pour l’expo universelle qui eut lieu à corona park (flushing meadows), puis démontée et replacée à coney island. aujourd’hui attraction purement visuelle, elle permettait à l’époque aux amateurs de sensations fortes de s’asseoir dans des nacelles placées à chacune des extrémités des branches de l’étoile et de tomber en chute libre (contrôlée)…
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