new york city 2014-2015
new york pendant les fêtes, j’avais déjà vécu ça en 1997, lors de mon tout premier séjour. j’avais été impressionné par la magie. forcément, c’était la première fois. avec le recul et après huit séjours là-bas, j’ai été, comment dire, déçu en bien, comme disent les vaudois. en fait, avec le temps, je me rends compte que new york est magique tout le temps, quelle que soit l’époque de l’année (bon, un peu moins sous une pluie battante, mais ça, c’est pour toutes les villes). et ce ne sont pas quelques arbres éclairés et quelques vitrines décorées, certes impressionnantes de moyens et de créativité, qui la rendent plus magique. cela étant, l’ambiance, je l’attendais quand même beaucoup plus festive et hormis trois feux d’artifice et une place de times square noire de monde (comme le veut la « tradition », mais que nous avons soigneusement évitée, ayant les bains de foule en sainte horreur), il n’y eut pas de quoi casser trois pattes à un canard. certaines des photos de cet album ont été prises avec mon téléphone portable, ce qui explique que la qualité soit parfois différente. et, cerise sur le gâteau, on a été surclassé en bizness au retour, ce qui nous a au moins permis de nous allonger. si ça c’est pas la (bizness) classe…
à part ça, séjour très sympa, un peu plus que le précédent et un peu moins que le prochain. le plaisir est intact et c’est chaque fois une surprise. je m’étonne presque de ne jamais me lasser et d’avoir hâte d’y retourner. encore et toujours.
enjoy!

le (tout) petit phare rouge, au pied du george washington. on l’avait vu de près en 2012, on l’a vu de haut cette fois.

après la traversée du pont, on arrive à fort lee, dans le new jersey. et là, surprise, la ville sur trouve sur une falaise.

mon dieu que ce phare est petit. on en éprouve que plus de tendresse pour ce petit gars sauvé de la destruction et pour le symbole qu’il représente aux yeux des new yorkais.

ground zero. la future station de métro, sorte de monstre à l’épine dorsale à la fois extrêmement agressive et très sensuelle qui contraste avec la géométrie des tours environnantes.

notre autre copain, le corinthien, l’immeuble en forme de pièces de monnaie empilées, depuis le williamsburg bridge.

le fameux sapin du rockefeller center: 30 000 loupiotes, 8 km de câbles, un échafaudage entier pour l’installer. l’épicéa le plus célèbre d’amérique.
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