grindelwald et jungfraujoch – mars 2016
deux petits jours dans l’oberland bernois, à grindelwald pour être précis, nous ont permis de nous aérer les neurones et de tout débrancher. là-bas, tout n’est que neige et culture du ski. il faut dire qu’il y a de quoi faire: une station de montagne au centre d’un fabuleux domaine skiable où, notamment, ont été tournées des séquences de films prestigieux – james bond au service secret de sa majesté et la guerre des étoiles: la revanche des sith en tête. sans être blasés, les gens ne semblent pas (plus?) s’émerveiller de la grandeur d’un paysage que le soleil a rendu, pour nous, spectaculaire l’espace d’une journée (et c’était pas gagné). durant la seule journée pleine que nous avons passée sur place, nous en avons profité pour emprunter la ligne de chemin de fer du jungfrau qui, par la petite scheidegg, mène à la plus haute gare d’europe, le jungfraujoch, situé à 3 450 m d’altitude. malgré l’air quelque peu raréfié et une température avoisinant les moins 10 degrés, aidée il est vrai par un vent hostile, l’expérience s’est révélée inoubliable. et on a bien fait d’en profiter car le lendemain, la neige tombait à gros flocons et le temps était revenu au gris. au final, avec des gens sympa et un hôtel (le kirchbuehl) confortable (avec sauna, hammam et jacuzzi privatisables et deux restaurants de bonne tenue), le dépaysement a été total et les souvenirs risquent bien d’être durables…
enjoy!
un fabuleux domaine skiable…
particulièrement difficile à photographier, mais aussi fascinante qu’un feu de cheminée…
pendant la montée en train à crémaillère vers kleine scheidegg, une vue sur le shreckhorn. ou était-ce le wetterhorn? ou le mittelhorn?…
ici les nuages aiment caresser les cimes…
nous continuons notre ascension de 1000 m à 3500 m…
une fois arrivés au jungfraujoch, on aperçoit le point culminant, l’observatoire du sphinx, que l’on atteint en ascenseur…
depuis la gare, on peut sortir sur une plate-forme battue par les vents pour admirer le paysage. arrivant à hauteur des genous, la poudreuse rend la progression difficile…
vue sur la vallée, côté canton du valais, depuis la plate-forme…
on se sent bien peu de chose…
le mönch. ou était-ce l’eiger?
des crevasses en veux-tu en voilà. mieux vaut pas s’aventurer en hors-piste…
vue à 360° sur la plate-forme du sphinx…
un sapin original
petite visite au palais de glace, toujours impressionnant, où l’humour n’est pas en reste puisque nous avons pu y voir scrat et son gland prisonniers de la glace…
je ne suis pas très montagne, mais je dois avouer que c’est tout simplement à couper le souffle. d’ailleurs, à 3540 m d’altitude, l’air vient un peu à manquer, ce qui rend la montée d’escaliers, par exemple, un peu difficile…
vue de l’autre côté du jungfrau, celui du canton de berne…
une dernière vue du canton de berne, avant de redescendre…
le village de grindelwald depuis notre chambre, le lendemain de notre montée au jungfrau…
mes pixels à moi 
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