mes pixels à moi

magique, époustouflante, insatiable comme nous le sommes à chaque fois que nous avons la chance d’y aller. toujours en mouvement, toujours en vie, elle ne s’arrête jamais. mais trêve de lieux communs.

il y a quantité de choses qui ne laissent pas de frapper à new york. tout d’abord le sentiment d’écrasement créé par les gratte-ciel de midtown, que l’on ne ressent nulle part ailleurs et dont on n’a aucune idée tant qu’on n’y est pas allé.

la foule, ensuite: affairée dans midtown, relax à greenwich, laborieuse à wall street, mais toujours compacte, toujours incessante. pour s’en échapper, il faut monter à harlem, se prélasser dans central park un jour de semaine ou se réfugier sur roosevelt island.

la diversité, aussi. des quartiers tout d’abord, des gens ensuite. new york est une ville magnifiquement métissée et c’est tant mieux.

l’activité, enfin. on dit que new york est une ville qui ne dort jamais. un autre vrai dépaysement pour des genevois (même d’adoption) dont nous n’avons pas vraiment profité, accablés de fatigue que nous étions par de longues journées de crapahutage et surtout par le décalage horaire.

cette fois, nous avons privilégié des activités que nous n’avions pas faites la première fois, comme arpenter le pont de brooklyn, se reposer sur roosevelt island, survoler manhattan en hélico ou se frotter à harlem.

au final, comme toujours, nous étions un peu tristes de partir, quand même contents de rentrer, mais très impatients d’y retourner.

cet album contient certaines des photos de lieux, de gens ou d’instants qui « font » new york à mes yeux. j’en ai évidemment rapporté beaucoup, beaucoup d’autres. mais il m’a fallu faire des choix afin que votre « lecture » reste digeste. vous me direz, dac?

enjoy!